À huit mois des élections municipales, le maire , imposé aux Agatois sans avoir jamais été élu par eux, et qui, comble du mépris, n’habite même pas notre ville, s’est livré à un grand numéro de fin de règne.
Dans la précipitation , il a remanié son équipe, nommé à la va-vite de nouveaux adjoints, écarté un compagnon de la première heure. Pourquoi ? Pour tenter de sauver les apparences. Pour recaser les fidèles. Pour verrouiller ce qui peut encore l’être. Une manœuvre grossière, politicienne, sans aucun lien avec les besoins des Agathois.
Ce n’est pas un acte de gestion, c’est une opération de contrôle. Une ultime tentative pour conserver un pouvoir qui lui échappe, à coups de petits arrangements entre amis.
On nous parle de continuité, de responsabilité ? Il s’agit en réalité d’un simulacre de démocratie locale. Un jeu de pouvoir cynique, opaque, méprisant pour les habitants d’Agde.
Mais les Agathois ne sont pas dupes. Ils savent reconnaître une manœuvre électorale déguisée en décision municipale. Ils méritent mieux que ces pratiques d’un autre temps.
Ils réclament de la clarté, une gouvernance incarnée, présente, enracinée ici, à Agde.
Le temps du recyclage est terminé. Le temps du renouveau approche.
